samedi 29 mai 2010

ALLASSAC ET SON CHEVAL BLANC

Finissez d'entrer



Je vous ai déjà parlé du restaurant LE CHEVAL BLANC qui connait un franc succès dans LA PLUS BELLE VILLE DU MONDE.

Nous l'avons testé avec succès !
Pour un repas à 12 euros (prix en semaine), nous avons eu un excellent potage de légumes suivi de hors d'œuvre variés.


Puis pour ceux qui aiment, la tête de veau, sinon croustillant de saumon ou hachis parmentier de canard.


Et comme dessert un fondant au chocolat

Nous avons mangé à l'intérieur où le service est assuré avec charme et convivialité.

puis pris le café en terrasse


Nous avons gouté le vin du Saillant (des vignes dont nous avons parlé ici), pas vraiment donné 20 euros la bouteille, je dois reconnaitre qu'il est bon mais attention il est costaud !!(13.5 degrés)

les deux patrons Corinne et Claude à qui nous souhaitons "que tout continue"!


05 55 86 31 41, avenue du Saillant dans la plus belle ville du monde ALLASSAC

vendredi 21 mai 2010

D'ALLASSAC A NEW YORK EN PASSANT PAR MONACO ET LONDRES ENTRE 1900 ET 1906

APPEL A TEMOINSMon titre fait très jet-set mais c'est l'histoire d'un membre de ma famille qui est parti et "a fait souche" aux Etats Unis à une période où l'immigration des pays pauvres vers le Pays Riche était le fait de quelques courageux.

Le frère de mon grand père a vécu la plus grande partie de sa vie aux États Unis sans jamais réussir à revenir en France et à Allassac.
Aujourd'hui sa petite fille et son mari sont en visite dans LA PLUS BELLE VILLE DU MONDE.

Il semblerait qu'à la fin du 19 ième siècle, une famille LES VELAY avait un hôtel à Monaco.
Ils possédaient à Allassac, la dernière maison en sortant du bourg sur la droite sur la route de Donzenac ( depuis de nombreuses années celle-ci appartient à la maison Valéry).

Lorsqu'ils venaient en vacances en Corrèze, ils proposaient à des jeunes gens dégourdis de venir apprendre le métier de serveur dans leur hôtel.
Ce fut le cas de mon grand oncle qui ensuite parti de Monaco pour Londres afin d' apprendre l'anglais puis en 1906 âgé de 26 ans il débarqua à New York en provenance de Southampton.


Il devint maitre d'hôtel dans un des restaurants les plus réputés de Manhattan dans Greenwich Village l'hôtel Brevoort.
En 1929, lors du crack financier il perdit tout son argent qu'il avait placé en bourse et se retira dans le Connecticut "la campagne new yorkaise" où il éleva des poules et produisit du vin "très mauvais" d'après ma cousine, sa petite fille qui l'a bien connu.

Toute sa vie, il rêva de revenir ici mais la situation internationale l'en empêcha puis ensuite la maladie. Il mourut en 1957.

Notre cousine américaine dans un livre très émouvant qu'elle a réalisé pour ma mère dit :
  • il m' a montré comment traire les vaches (elle habite maintenant en plein cœur de Manhattan!)
  • il m' appris à boire et apprécier du Vermouth
  • il recevait chaque jour dans sa boite aux lettres un pain français, il détestait le pain américain.
  • toujours toujours il parlait de la beauté d'ALLASSAC et comment il rêvait d'y retourner.
Donc mon appel à témoins est le suivant :

si parmi ceux qui lisent ce blog il y en a qui ont eu vent d'une histoire identique autour d'eux ou qui savent que dans leur famille quelqu'un est parti à Monaco, merci de bien vouloir me communiquer l'info.
Je ne sais pas si le cas de mon grand oncle était un cas unique ou si cela est arrivé à d'autres jeunes d'allassac poussés par l'aventure mais surtout par le peu d'argent et de perspectives qu'il y avait à rester ici au début du 20 ème siècle(si vous connaissez toujours au début du 20 ième siècle des personnes qui ont immigré vers d'autres pays ou continents, cela m'intéresse aussi)

Merci de me donner des informations à : allassacplusbellevilledumonde@gmail.com

(j'aurais du écrire de la rue de la Grande Fontaine à ALLASSAC à New york, 5th avenue, 18th ST!!)

samedi 15 mai 2010

les nouvelles vignes d'ALLASSAC PLUS BELLE VILLE DU MONDE


Sur les coteaux de la Pleuge et de la Chartroulle, au-dessus du Saillant

Nous voilà parties avec une éminente habitante de La Chartroulle qui se reconnaîtra, à l'assaut des nouvelles vignes sur les coteaux de la Pleuge et de la Chartroulle donc sur la commune de LA PLUS BELLE VILLE DU MONDE.
Le paysage est vraiment surprenant, je ne me souviens pas comment cela était avant. On est quelque peu étonné de voir ces pieds de vigne sur de très grandes étendues.
On trouve toujours cela sympa, produire du vin, le fantasme du vigneron qui sommeille en chacun de nous.


Je viens de lire avec beaucoup d'intérêt le fascicule édité par le pays d'art et d'histoire Vézère Ardoise "laissez-vous conter la Vigne" et j'ai donc appris :
  • au XVIII° siècle dans les paroisses d'Allassac, de Donzenac et de Voutezac, la vigne se maintient dans des proportions importantes ( autour d'1/3 de la surface totale)
  • au 19° siècle c'est un nouvel âge d'or pour le vignoble de la Basse-Corrèze, la vigne est la culture la plus importante et à cette époque apparaît un monde de petits et moyens vignerons. (le quartier de la Grande Fontaine, ce "barri" était là où habitaient la plupart des vignerons voir la photo et les commentaires)
  • et puis le phylloxéra et c'est la chute...
C'est l'association Les Amis du Pont du Saillant qui aurait initié un projet de réintroduction de la vigne.
Je n'ai pas tout compris mais je crois qu'il y a de bonnes raisons de penser que c'est un projet privé et pas du tout dans les traditions des cultures locales mais quelqu'un qui s'y connait mieux que moi nous en parlera ulterieurement.
En tous les cas, ce projet a engendré une levier de bouclier ou plutôt de pétitions par les futurs riverains des vignes .
Ils n'avaient sans doute pas tort car enquête menée il parait que la Vigne est l'activité agricole la plus dommageable pour l'environnement.
Je trouve qu'il n'est pas très honnête d'écrire dans le fascicule "laissez-vous..."que le vignoble est cultivé dans le respect de l'environnement ( agriculture raisonnée = vocable politiquement correct utilisé par la FNSEA pour continuer comme avant sous couvert d'une nouvelle orientation écolo!!)
Tous ceux qui vivent à proximité se plaignent de la pollution atmosphérique lors des opérations "pesticides" souvent à l'heure du déjeuner m'a-t-on signalé.


Une cabane de vigne a retrouvé son utilité. Ces cabines de vigne étaient l'occasion de fêtes de famille. Mon père en avait gardé un souvenir ébloui quand tout le monde se retrouvait pour le déjeuner en pleine vendange, les repas étaient de véritables agapes et une vrai fête pour les enfants qui avaient beaucoup à faire. Mon oncle dans la maison familiale de la rue de la Porte Basse avait des cuves, un pressoir, des barriques, une vraie cave vinicole.


Une partie du vignoble est plantée en terrasse.
Bizarre, renseignements pris auprès d'autorités compétentes, ce n'est pas du tout dans la tradition de la région.
C'est vrai que l'on a plutôt vu cela le long du Rhin ou en Grèce pour des raisons très particulières.

Juste un petit exemple de l'agriculture raisonnée lorsque l'on se promène, rangez moi ces produits que je ne saurais voir!!!La cave de Branceilles qui produit le mille et une pierres se tourne si j'en crois la Presse locale vers une production écolo pour suivre la demande des consommateurs, il faut dire que la famille leader sur cette production a toujours été en pointe sur cette façon de travailler.

Vous pouvez vous procurer le livre "laissez vous conter la Vigne" au prix de 5 euros dans les offices du tourisme et à la Maison de la Presse de la Plus Belle Ville du Monde, il est très intéressant et joliment maquetté.
( Ah, j'allais oublier dqns le fascicule, on parle de faire chabrot, C.H.A.B.R.O.L pas CHABROT dans notre coin de Corrèze, chabrot avec un T c'est pour le Lot et la Dordogne que sais-je...voir ici)

lundi 10 mai 2010

"Il était une fois un Pays d'art et d'histoire, Vézère-Ardoise en Bas Limousin : acte II

Acte II

De l'obtention du label en 2001/2002, à l'élargissement de 15 à 44 communes en 2010
(pour lire l'acte I, cliquez ici)

En août 2001, la réponse positive est donnée par le Ministère de la Culture.

Le label est obtenu du premier coup.

Pour la petite histoire, la ville de la Rochelle voit sa candidature à même époque retoquée pour dossier incomplet!

La convention est signée en février 2002 .

Signer la convention équivaut à se voir attribuer une mission de service public avec la sauvegarde et la promotion du bâti et des opérations en direction des populations sur le patrimoine.

L'axe choisi par le Pays d'art et histoire Vézère Ardoise est volontairement tourné vers les jeunes, à savoir écoles, collèges, lycée agricole.

Yasmine anime alors des ateliers d'architecture pour les ados entre autres pour la restauration d'un dolmen à Estivaux et des rencontres animées par des archéologues au château de Comborn.

Dans la convention, il y une obligation de créer un emploi d'animateur du patrimoine (ayant rang de conservateur).

20 candidats se présentent, c'est Yasmine qui est reçue et qui devient donc l'animatrice du patrimoine du Pays d'art et d'histoire Vézère Ardoise.

Reçu en 2001, labellisé en 2002, le Pays d'art et d'histoire s'installe dans le paysage local, on arrive en 2005 , pas mal de questions se posent sur son évolution.

Un petit retour en arrière sur les lois sur les Collectivités Locales.

En 2000, la loi sur l'intercommunalité crée quelques problèmes.
Nous vous rappelons qu'ALLASSAC est en interco avec Brive dans le cadre de la CAB, rien à voir avec le découpage du Pays d'art et d'histoire comme vous pouvez le constater en regardant les deux entités.









Comment les communes, les intercos, les pays,
toutes ces entités se combinent-elles au quotidien et dans notre cas le Pays d'art et d'histoire dont les frontières ne sont pas celles d'une entité administrative mais « l'unité historique et géographique d'un territoire ».




Depuis 2003, la ville d'Uzerche est commune associée au Pays d'histoire Vézère Corrèze, Saint Ybard a posé sa candidature pour rejoindre l'association.
C'est en 2006-2007 que le Pays d'art et d'histoire Vézère Ardoise, fidèle à sa politique de valorisation et de médiation du patrimoine, a lancé un programme d'animation "Laissez-vous conter L'ardoise" puis "la révolution de l'eau".

En 2007, c'est aussi le décès de celle qui a beaucoup œuvré pour ce label, Geneviève Caillé, la Directrice du service Musées et Patrimoine à la DRAC Limousin.

En décembre 2007, la Drac conseille une étude de faisabilité sur l'évolution du Pays, managée par un comité de pilotage

Trois options sont alors envisagées :

  • le statut quo, rester à 15 mais c'est une taille un peu juste

  • coller aux intercommunalités ( celles du bassin de la Loyre, de Brive, des 3A)
  • intégrer le SIAV syndicat pour la Vézère créé il y 30 ans par M de Lasteyrie
  • s'étendre le long de la faille ardoisière, retrouver les contours de la Vicomté de Comborn, celle de l'évêché de Limoges en Bas Limousin.

Après avis du conseil de pilotage, le Conseil d'administration en septembre 2008 opte pour la quatrième solution.

Fin 2008, un avis favorable est donné par la DRAC, la Région, le Conseil Général qui suivront pour les financements.

Il faut alors prendre son bâton de pèlerin pour rencontrer les élus des communes susceptibles d'être intéressés par la démarche

  • Saint Ybard avait déjà montré son intérêt
  • Sainte Féréole à nouveau refuse
  • Saint Germain les vergnes dit non
  • Lagraulière intéressé
  • Espartignac, idem
  • Saint Jal refuse
  • Brive réfléchit puis dit non postulant pour être Ville d'Art et d'Histoire
  • Malemort ne sent pas concerné
  • Toute l'interco du bassin de la Loyre Juillac-Loyre-Auvézère dit oui

  • Ayen dit oui
  • Segonzac dit oui

  • La communauté du bassin d'Objat dit oui après la réponse négative de Brive, dans ce cas c'est la communauté de communes d'Objat qui a fait acte de candidature.
  • Concèze dit oui

Entre décembre 2008 et le printemps 2009, de nombreuses communes ont donc donné leur ok.

  • Arnac Pompadour fait acte de candidature
et voilà donc 29 communes supplémentaires qui souhaitent obtenir le label Pays d'art et d'histoire et former ainsi un nouveau territoire de 44 communes.

Pour info, il peut y avoir

  • des communautés isolées qui appartiennent à la CAB (communauté d'agglo de Brive) Allassac par exemple

  • des communes des communautés de communes (3a, la loyre juillac, arnac pompadour, objat)

  • des communes "isolées" (ayen)

Le nouveau projet est présenté aux services de la DRAC qui donne son OK en septembre 2009.

Comment va se passer la nouvelle aventure de labellisation car

ON PASSE DONC DE 29 COMMUNES A 44 COMMUNES;

ON PASSE DE 21 0000 HABITANTS A 45 000 HABITANTS SUR CES TERRITOIRES;

ON PASSE DE 31 500 HA A 80 000 HA,

(vous pouvez cliquer sur la carte pour l'agrandir en vert foncé le Pays vézère ardoise initial, en vert clair, les nouveaux entrants, en vert l'ensemble du futur Pays d'art et d'histoire Vézère Ardoise)

C'est ce que vous découvrirez lors du prochain épisode de la saga "il était une fois un Pays d'art et d'histoire, Vézère-Ardoise en Bas Limousin".

Nous vous donnons rendez vous pour le 3ième épisode.

mardi 4 mai 2010

"Il était une fois un Pays d'art et d'histoire, Vézère-Ardoise en Bas Limousin : acte I


Préambule : Cette histoire m'a été contée par Jean Louis Lascaux. J'espère avoir fidèlement rapporté ses propos. Jean Louis est un ami mais c'est aussi quelqu'un qui a beaucoup fait pour qu'ALLASSAC ne perde pas la mémoire de ce qui a fait " son riche passé" que ce soit ses monuments, ses habitants, ses ardoisières,ses villages, ses résistants pendant les guerres.
Il est aussi très engagé dans le présent puisqu'élu municipal, ayant un fort attachement à tout ce qui fait notre lien social en particulier les services publics .
Le Pays d'art et d'histoire Vézère-Ardoise lui doit beaucoup puisque sans son engagement, son travail, ses relations avec tous les élus et autres membres de cette saga, il n'y aurait pas eu de démarche dans ce sens.

Qu'il en soit ici remercié.


ACTE I

« une histoire de rencontres »

En 1996, Geneviève Cantié, directrice du service Musées et Patrimoine à la DRAC (direction régionale des affaires culturelles) évoque lors d'une rencontre avec Jean Louis Lascaux la possibilité d'un classement en Pays d'art et d'histoire de notre territoire.

« Elle trouvait que celui-ci avait du caractère »

Le ministère de la Culture et de la Communication assure depuis 1985, dans le cadre d’un partenariat avec les collectivités territoriales, la mise en œuvre d’une politique de valorisation du patrimoine et de sensibilisation à l’architecture, concrétisée par l’attribution du label “ Ville ou Pays d’art et d’histoire

Jean louis en parle à la municipalité à laquelle il appartient, laquelle lui donne son OK pour approfondir la démarche.

« Le label “ Ville ou Pays d’art et d’histoire " qualifie des territoires, communes ou regroupements de communes qui, conscients des enjeux que représente l’appropriation de leur architecture et de leur patrimoine par les habitants, s'engagent dans une démarche active de connaissance, de conservation, de médiation et de soutien et à la qualité architecturale et du cadre de vie. »

« Le terme de patrimoine doit être entendu dans son acception la plus large, puisqu’il concerne aussi bien l’ensemble du patrimoine bâti de la ville que les patrimoines naturel, industriel, maritime, ainsi que la mémoire des habitants. Il s’agit donc d’intégrer dans la démarche tous les éléments qui contribuent à l’identité d’une ville ou d’un pays riche de son passé et fort de son dynamisme. »

1996-2001 : 5 ans entre l'idée du départ et la présentation à la commission d'attribution du label Pays d'art et d'histoire

  • En 1998, suite à l'élection comme conseiller général du maire d'Allassac, Gilbert Fronty, la démarche est étendue au canton de Donzenac (Donzenac, Allassac, Sadroc, Sainte Féréole, Saint Pardoux l'ortigier, Saint Viance)

  • A l'automne 1998, Sainte Féréole décline et ne souhaite pas donner suite,

Par contre Varetz, Ussac, Voutezac et Vigeois sont partants

Puis Perpezac le noir, Estivaux, Orgnac, Vignols, Saint Solve, Saint Bonnet


  • En 1999, est créée l'association de la Vézère-Ardoise.

Dans un premier temps, c'est la notion «ardoise» qui est prépondérante puis rapidement la Vézère devient aussi « évidente ».

Une réunion en sous préfecture avec le sénateur Mouly a lieu afin de voir comment structurer l'association, la faire fonctionner de façon souple avec des collèges :

  • collège d 'élus,
  • collège de personnes morales (les acteurs du patrimoine, les offices de tourisme...) et
  • collège de personnes physiques,
les élus ayant dans cette organisation la majorité.

Le Conseil d'administration est donc composé des 3 collèges avec 1 délégation par commune (15 à ce jour) 3 délégués Personnes Morales et 3 personnes physiques.

Le but est d'élaborer un dossier en vue de l'obtention du label Pays d’art et d’histoire et d'établir des actions en direction des jeunes en particulier à travers des ateliers du patrimoine.

La commune d'ALLASSAC s'est très vite totalement engagée à soutenir la démarche entre autre en prêtant des locaux et en mettant à disposition un emploi jeune en la personne de Yasmine Vergne Labrousse.

L'équipe qui commence à travailler avec Yasmine se compose de Jean Louis Lascaux, de Jean Chastre (maire de Vigeois à l'époque) et de Danièle Delord (épouse du maire de Perpezac) ,

Geneviève Cantiè les suit à la direction du Patrimoine.

  • Au printemps 2000, alors qu'ils ont bien avancé sur le dossier à déposer, Madame Cantiè leur conseille de rencontrer un membre du Ministère de la Culture pour avoir un avis.

La personne rencontrée leur dit « Bien mais vous avez oublié tout une partie de vos atouts à savoir que vous avez des paysages remarquables ».

En effet de par leur formation et aussi leurs centres d'intérêt, les membres du groupe de travail avaient surtout focalisé leur travail sur le bâti.

  • Fin juillet 2000, le dossier est finalisé, en septembre, il est envoyé à la DRAC puis au Ministère de la culture.

Les choses trainent car il y a des élections en mars 2001 et la commission d'attribution du label se réunit seulement en juin 2001.


Les 15 communes qui ont fait un travail considérable vont-elles réussir à avoir ce label si convoité "Pays d'art et d'histoire" devenant la première "entité" au sud de la Loire à l'obtenir?

C'est ce que vous découvrirez lors du prochain épisode de la saga "il était une fois un Pays d'art et d'histoire, Vézère-Ardoise en Bas Limousin".